Lydie G.

« Ce que j’aimais dans ce projet des yourtes c’est que c’est un projet qui a un retour de 50% sur investissement, mais parce qu’il est pleinement en accord avec mes valeurs aussi. C’était vraiment aligné parce que j’étais en lien avec la nature et je proposais un hébergement respectueux de la nature et où les gens pouvaient se sentir bien.

Je m’appelle Lydie, je suis maman de deux enfants de 5 et 7 ans et je suis en profession libérale : acupuncture, massage, hypnose. Je suis aussi formatrice de groupe « gestion des émotions » et je gère aussi des yourtes.

Pour commencer mon projet, j’avais réussi à mettre de l’argent de côté pour acheter mes deux premières yourtes. Je les ai installées et elles ont été très vite complètes. La deuxième année, vers le mois de mars – avril, j’ai contacté ma banque pour leur demander si je pouvais en mettre trois nouvelles yourtes et ils ont accepté directement. J’en ai donc mis trois nouvelles et pour les derniers 4-5 ans j’ai tourné avec mes 5 yourtes.

Ensuite, je me suis inscrite à la formation de Nathalie et mon cerveau s’est mis à cogiter petit à petit. Au fil des vidéos, je me suis dit que ce serait bien de remettre trois nouvelles yourtes. Ce qui m’a poussé à ça c’est le fait que c’est un investissement personnellement financé et qu’il fallait que j’augmente mon cash-flow. En ce moment là, le seul moyen à ma portée pour augmenter mon cash-flow était de remettre ces trois nouvelles yourtes.

Donc, c’était une des premières solutions que j’avais, alors que l’autre solution était de mettre des formations en lignes. J’ai regardé les richesses que j’avais à l’intérieur de moi et les compétences que je pouvais utiliser pour ce faire. Etant formatrice et ayant accumulé une certaine expérience, des compétences et un savoir dans différents domaines, j’ai décidé de les mettre en ligne.

J’ai dépassé un peu la phase des prémisses parce que j’ai déjà préparé une partie des contenus et maintenant je vais commencer à filmer et à mettre en ligne. J’ai plusieurs idées, que je ne vais toutes les dévoiler (rire) mais les premiers sujet seraient sans doute sur la parentalité bienveillante.

J’ai fait un autre achat qui a été un peu particulier parce que ça faisait un an que j’étais en veille sur le marché de Rennes pour acheter un appart/studio. J’étais persuadée que je ne pouvais pas acheter quoi que ce soit parce qu’étant en profession libérale, seule avec mes enfants et ayant aucun apport, c’était clair et net que je n’avais pas de possibilité d’acheter quoi que ce soit. Puis, j’ai suivi la première partie du cours de Nathalie sur les croyances, toute la partie spirituelle, et je me suis dit : « Je vais essayer. »

Il y a aussi une phrase de Nathalie qui m’a fait tilt, qui était : « à un moment donné il faut vous mettre un coup de pied au cul. » Elle le dit comme ça, donc je le répète comme ça. Et je me suis dit qu’il faut passer à l’action et que je dois m’entraîner. J’ai donc contacté deux agences pour prendre rendez-vous et aller visiter deux studios.

J’ai visité les deux dans le même jour et j’ai acheté le deuxième.
J’ai téléphoné à la banque, et la première banque qui m’a suivi sur le projet des yourtes n’était pas d’accord. J’ai partagé l’idée sur un groupe Facebook et il y avait un super soutien moral, ça m’a énormément aidé. J’étais assez présente, mais les copains étaient aussi là. Quand j’ai téléphoné à la deuxième banque, ils m’ont dit : « vas-y, tu peux aller jusqu’à la 30éme banque, il n’y a pas de problème. » J’ai donc contacté la deuxième banque, je leur ai exposé mon projet, et ils m’ont suivi sur les yourtes et sur l’appartement.

Le but d’augmenter le cash-flow c’est évidemment de ne pas en rester là. Pour les yourtes, le calcul était d’augmenter le revenu de plus d’un tiers, voire la moitié. Pour rester raisonnable, je dirais un tiers et grâce à cette augmentation là pouvoir revendre ce petit studio pour acheter un bien qui va me permettre de faire de la colocation et d’assurer un retraite. C’était en fait ma motivation initiale avant de m’inscrire à la formation de Nathalie.

Ayant voyagé énormément, je n’ai pas cotisé pour couvrir ma retraite et c’était ça mon but. C’était impossible pour moi à cet instant de faire ça, donc j’ai calculé mes trimestres et il fallait que je fasse un plan et les cours de Nathalie étaient très importants pour m’aider avec ça et m’installer une vision à long terme. Je ne devais pas penser juste pour les trois mois suivants ou l’an suivant, mais il fallait se projeter dans les 10, 15 ou 20 ans à venir et de d’avancer pas à pas, et ce que je suis en train de faire.

J’ai repris trois yourtes et avec les cinq que j’avais déjà, je suis actuellement entre 20000 et 25000 euros de chiffre d’affaires par an. Mon but est d’augmenter ce chiffre de la moitié ou d’un tiers, c’est-à-dire d’y rajouter entre 10000 et 12000 euros.
Pour la studinette (le petit studio), on est sur beaucoup moins forcément puisque c’est un bien qui a coûté entre 40000 à 45000 euros pour son achat et qui chiffre un excédant de 50 euros par mois. Cela me permet d’amortir les différentes qui peuvent y avoir sur l’année. Ceci dit, on manque ce genre de logements pour étudiants à

Rennes et donc c’est évident que ce bien va prendre de la valeur puisque qu’il y a énormément de gens qui cherchent ce genre de biens. Il faut donc attendre un peu avant de le revendre dans quelques années.

Ce que j’ai aimé, c’est déjà la présence de Nathalie. C’est quelqu’un de sérieux et on sent tout de suite la richesse de sa formation dans ses présentations et dans les informations qu’elle nous donne. Certes, c’est une formation sur la richesse mais Nathalie est une richesse en elle-même.

Ce qui est important aussi, c’est sa présence. Elle est aussi présente sur le groupe Facebook, pas forcément tout le temps, mais si elle voit qu’il y a quelque chose qui ne va pas, elle intervienne sur le champ. Pareil pour les webinaires, si on a besoin d’informations, on pose les questions d’une manière organisée à l’avance et on sait que les réponses qu’elle va nous donner vont être ultra précises.

Une des choses qui ont été importantes pour moi c’est le « Carnet de Rêve », que j’ai tout le temps sur moi. Je le traîne partout et je me suis vraiment choisi un joli objet. C’est évidemment très important puisque ça aide à de débloquer beaucoup de choses et à rester focalisé sur nos rêves et de les attirer dans notre vie.

Au niveau des croyances, j’avais la grosse croyance que c’était impossible pour moi de décoller de là où j’ai été parce que j’étais seule, avec deux enfants et j’avais une profession libérale. Je me sentais comme dans un prisme, j’ai travaillé dessus et ça s’est balayé.

Avec cette formation, je me suis rendue compte qu’il n’y a pas de limites et que tout est possible. Moi, j’étais bloquée dans mon état de non-investissement et d’immobilisme et maintenant je suis en train d’avancer. Donc tout est possible, il n’y a pas de barrières. »