’ai découvert Nathalie lors d’une formation sur l’abondance.
Je suis tombée sur une interview.
Sa façon de parler de l’argent m’a interpellée.
Elle avait l’air à l’aise, désinhibée, et surtout humble.

Je me suis dit : cette personne m’intéresse.
Ensuite, je suis arrivée sur son Défi de cinq jours.
Je n’étais pas encore décidée à m’inscrire, mais ça m’avait interpellée.
Je me suis dit : cette personne pourrait m’aider à accomplir mes projets.

J’ai suivi le Défi à la lettre.
J’ai ouvert ma petite tirelire.
J’aime sa rigueur naturelle, son charisme.
C’est une main de fer dans un gant de velours.

Je savais que le Défi lançait son programme.
Au départ, je n’étais pas dans l’optique de le suivre, mais ça germait en moi.

Avec le Défi de cinq jours, je me disais que je n’en saurais pas assez.

Je n’irais pas au bout de ce que j’avais en tête.

J’ai beaucoup aimé la façon dont elle présente ses contenus : avec le support écrit, sur lequel on peut revenir après la vidéo.
Pas besoin de prendre de notes : tout est déjà écrit sur le PowerPoint.
Tout est très bien expliqué.
Elle va à l’essentiel, dans les moindres détails.

J’ai aimé aussi les lives une fois par mois, avec les questions-réponses.
Rien n’est laissé au hasard.
Je n’ai pas de questions à poser, parce que tout était clair et limpide.

Je voulais acheter un studio pour le mettre en location courte durée.
J’avais la somme sur mon compte, mais je suis restée plusieurs mois sans rien faire.

Au bout de 3 ou 4 visites, j’ai trouvé le bien qui me correspondait.
J’ai mené toutes les étapes de A à Z : les artisans, les travaux.
J’ai tout fait de façon sereine, jusqu’à l’acquisition en octobre/novembre 2024.

Je l’ai mis en exploitation en février de cette année. C’est récent, je n’ai pas encore beaucoup de cash flow, mais ça a été fluide.

Je suis persuadée que sans l’intervention de Nathalie, je n’aurais pas avancé aussi vite.
J’aurais investi sans les connaissances.

J’ai d’autres projets. Un gros projet, qui sera un peu le parcours du combattant.
Mais je me sens plus forte grâce à ce que j’ai déjà accompli.

À 60 ans, seule, avec un salaire, j’ai mené un premier projet en France.
J’en suis fière.

Mon deuxième projet : un achat en Espagne.
J’aimerais y passer du temps à la retraite et, quand je n’y suis pas, le mettre en location courte durée.
Peut-être un autre bien en France, ou un autre en Espagne.
Je me sens capable d’y arriver.

Ce qui m’a le plus plu dans la formation, c’est la boîte à outils.
La variété, la richesse des informations.
On ne peut pas finir cette formation sans entreprendre quelque chose.

Je n’ai pas envie de faire partie des retraités ou des actifs qui se plaignent de ne pas avoir assez d’argent.
Il faut se donner les moyens.
J’ai envie de continuer à voyager, à garder mon confort, voire plus.

Je n’ai pas envie d’une petite retraite bloquée dans un appartement.
Je me donne les moyens de garder ce train de vie.

Une fois que j’aurai plus de cash flow, je vais m’intéresser à la bourse.
Je commencerai petit, simplement, et je diversifierai.

À qui conseiller cette formation ?
À tout le monde.
Mais surtout à ceux qui se plaignent de ne pas gagner assez, qui remettent leurs projets à plus tard, qui tiennent pour acquise leur situation, qui ne sont pas curieux.

Cette formation leur permet de prendre confiance en eux.
Au départ, on a confiance en Nathalie et son équipe.
Puis, grâce aux rencontres avec des investisseurs, on prend confiance en soi.

On se dit : pourquoi pas moi ?
Elle a réussi, en toute humilité.
Donc pourquoi pas moi ?

On devient plus sûr de soi.
Je me sens comme un investisseur averti.
Je connais des choses, je peux donner des conseils.
J’ai une deuxième casquette : la casquette financière.

On change de posture.
On est plus sensibles à certaines situations.
Quand j’entends des gens dire “j’attends la fin du mois pour faire mes courses”, je me dis : non, moi je mange tout le mois.
Ça me fait sourire.

Je suis plus agacée par les gens qui se plaignent sans rien faire.
Cette formation est pour eux.
Elle permet de débloquer les idées reçues, de gratter ailleurs que dans sa routine.

Moi, je n’ai pas fait cette formation par hasard.
Je savais déjà que je ne voulais pas d’une petite retraite.
J’avais peur de ne plus pouvoir voyager.

Aujourd’hui, je sais que je pourrai garder mon train de vie.
Modeste, mais suffisant : partir, revenir, repartir. Pour moi, c’est ça, la vraie vie.

Cette formation donne le pouvoir de dépasser ses limites.
C’est un pouvoir qu’on nous donne.
Il faut le saisir.