Je gardais tout mon salaire sur mon compte courant, tout le mois, en espérant que ça reste positif.
Et le mois suivant, pareil.
Résultat : je n’épargnais rien ou très peu.

Le manque d’économies m’a empêchée de faire des choses.
Quand j’ai eu des difficultés financières avec mon magasin, j’aurais dû renflouer la trésorerie avec mes fonds personnels.
Mais je n’avais rien.

J’hésitais à rejoindre la formation, car c’était un investissement.
Mais le Défi m’a montré ce que ça pouvait m’apporter.
Je me suis dit : j’ai les sous, allons-y.
J’avais peur, mais j’y suis allée.
Et je ne regrette pas.

Ce que je voulais :

• être plus sereine face à l’argent,
• avoir une relation plus saine, comme avec une alliée,
• revoir mes croyances limitantes,
• comprendre les termes financiers, ne plus avoir peur de rencontrer mon banquier.

Parmi mes croyances :

• avoir de l’argent change les gens,
• il faut mériter l’argent,
• travailler dur pour gagner de l’argent,
• peut-être que je ne méritais pas l’argent.

Au début de la formation, avec les ateliers, j’ai beaucoup pleuré.

Il y avait notamment le carnet de rêves.
J’y avais noté :

• prendre 3 semaines de vacances l’été,
• partir en voyage en Asie,
• faire une mission humanitaire.

L’été dernier, je suis partie 3 semaines en Inde, en mission humanitaire.
Je me suis dit : « C’est exactement ce que j’avais écrit. »

Si je ne l’avais pas fait avant, c’est parce que je ne m’autorisais pas à prendre des vacances.
Je laissais passer les opportunités.
Et dans mon couple, je ne me sentais pas libre.
En quittant mon conjoint, je me suis dit : « C’est ma vie, trace. L’opportunité est là, fonce. »

Avec Richesse & Liberté, j’ai changé ma façon d’investir.
Je me suis rendu compte que je pensais ne pas avoir d’argent… mais j’en avais.
J’ai constitué un petit pécule de sécurité.
Puis j’ai investi, principalement dans des produits financiers et du crowdfunding immobilier.

Je suis allée au live à Paris.
C’était génial : j’ai rencontré du monde, créé des amitiés, découvert d’autres intervenants.
J’ai même lié une connaissance qui m’a lancée dans le marketing de réseau.

La formation m’a appris à mieux faire mes comptes, mieux gérer, investir sur moi.
J’ai compris que j’avais de la valeur, que je pouvais investir en moi.

J’ai aussi eu des discussions beaucoup plus libres sur l’argent avec mes enfants.
J’ai découvert que mon fils aîné avait déjà investi dans les crypto-monnaies.
On a pu échanger naturellement.
À mon époque, je n’avais jamais eu ce type de discussions avec mes parents.
Je trouve précieux de transmettre ça à nos enfants.

Mes projets :

• développer mon activité de marketing de réseau, pour avoir un revenu complémentaire,
• investir peut-être dans un mobilhome, un projet simple,
• continuer mes investissements en crowdfunding immobilier, parce que c’est rentable et pas compliqué,
• investir aussi un peu en actions : je trouve ça sympa, même si plus risqué.

J’aime le crowdfunding : on finance des projets immobiliers, on voit les plans, et on récupère son argent avec intérêts, sans les tracas de gestion.

Je recommanderais la formation à des gens qui sont prêts à mettre le nez dans leur compte, qui sont prêts à apprendre plein de choses, qui sont prêts à évoluer et à saisir les opportunités que la vie leur présente, et aussi à des personnes qui sont prêtes à investir sur elles.

Ce qui est sympa avec la formation, c’est qu’on suit à son rythme. Actuellement, à un an et demi, je ne l’ai pas terminée, mais je sais que je peux la suivre quand je veux. Le programme ne se termine pas, et si je veux revenir en arrière, s’il y a quelque chose que je veux revoir, je peux. C’est rassurant.

Au démarrage, quand j’ai pris la formation et qu’on était sur le groupe Facebook, je voyais des messages de personnes qui avaient pris la formation l’année dernière, qui disaient : « Je ne l’ai pas terminée, est-ce que je peux rejoindre ? » Je crois qu’il y avait des trucs comme ça. Et en fait, je me disais : « Mais comment on peut prendre une formation et ne pas la terminer dans le temps imparti ? » Parce que pour moi, c’est un engagement.

Et en fait, je me retrouve un an et demi plus tard à ne pas l’avoir terminée. Non pas parce que je n’ai pas eu la motivation, mais parce que j’ai eu l’esprit plus curieux. Le fait d’accueillir les opportunités qui se présentaient ne m’a pas fait perdre du temps, mais m’a un peu ralentie dans la formation, pour d’autres choses encore plus grandes.