Pauline D.
Je m’appelle Pauline, j’habite dans le Morbihan en Bretagne. Actuellement, je ne travaille pas, je m’occupe de mon fils qui va bientôt avoir 9 mois.
J’avais déjà un peu travaillé sur la relation à l’argent, mais il y avait des choses comme par exemple la peur de prendre des risques qui étaient difficiles. Donc je ne bougeais pas sur certains sujets, j’étais un peu bloquée. J’avais déjà fait des investissements et des placements, mais sur des choses assez traditionnelles et peu risquées. J’avais besoin d’aller un peu plus loin, mais je ne savais pas par où, et je n’osais pas.
Je ne me souviens pas comment j’ai découvert Nathalie… Enfin, si. La première fois que je l’ai découverte, je pense que c’était à une formation. J’avais participé à un live de NBS, la Neuro Business Pro. Et c’est la première fois que j’ai entendu parler d’elle, mais je n’ai même pas assisté à sa conférence. C’est seulement un an ou deux ans plus tard. Elle est apparue sur Facebook et j’ai participé au défi, un défi gratuit.
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Déjà, il y avait des choses, je pense, basiques, mais par exemple de regarder la rentabilité globale de ce qu’on a déjà en termes de placement, d’investissement, et de se rendre compte de ce qu’on gagnerait en plus si on ajoutait un pourcentage. Par exemple juste 1%. Déjà, des petites prises de conscience comme ça, où j’ai vu vraiment la valeur ajoutée que pouvait apporter la formation.
Donc moi, ma situation, c’était que j’avais un patrimoine et de l’argent disponible, mais qui ne rapportaient pas grand-chose. Mon objectif, c’était de ne plus avoir besoin de travailler. En tout cas, de bien placer, investir mon argent, de manière à ce que, d’ici un à deux ans, je n’aie plus besoin de travailler pour répondre à mes besoins et vivre confortablement.
Moi, je suis quelqu’un d’assez dans l’action, donc j’aime bien, je suis assez gourmande de tout ce qui est exercice, tout ça. Donc j’étais au taquet les premiers mois. Et puis il y a eu un ralentissement au cours de l’année. Il faut savoir que j’étais enceinte. J’ai travaillé au tout début de la formation, mais j’ai rapidement été en arrêt de travail. Donc j’ai eu de la disponibilité pour m’investir les premiers mois. Et puis ça s’est relâché un peu progressivement. En tout cas, je ne perdais pas de vue mes objectifs, parce que je n’avais pas forcément envie de retravailler directement après ma grossesse. C’était important pour moi d’avancer, même si j’avançais moins vite, parce que mon état me le permettait moins. Mais je continuais quand même à faire des petits pas, un peu toutes les semaines.
Ce que j’apprécie, c’était qu’il y avait à la fois un coaching individuel et puis des coachings plus collectifs. Les coachings collectifs, en posant ses questions à l’avance, on était sûr d’avoir la réponse dans le replay sans forcément avoir participé. Ça, je trouvais ça très chouette. Et de bénéficier aussi de tout ce que peut apporter le collectif en termes d’autres expériences, d’autres questions auxquelles on n’a pas pensé. Donc voilà, c’est très riche puisque ça couvre d’autres situations auxquelles on pourrait être confronté aussi par la suite.
Et puis, ce que j’ai apprécié aussi, c’est la richesse du contenu, qui couvre aussi bien les différents domaines : immobiliers, financiers. Avant ça, toute la partie gestion des comptes, où là, j’étais nulle part. Et puis toute la partie aussi sur les croyances, travail sur les peurs, tout ça.
Il faut savoir qu’aujourd’hui, un an et quelques mois après le début de la formation, je n’ai pas encore tout vu. J’ai sélectionné en fonction de mes intérêts. À partir du moment où j’ai défini ma stratégie, c’est ça aussi qui est intéressant. C’est la campagne, dans le sens de prendre soi-même les décisions. Chacun est différent et il n’y a pas de recette miracle. Chacun investit en fonction de ses ressources, de son appétence pour un sujet ou pour un autre, de sa disponibilité en temps. On fait ses choix en fonction de ce qu’on se dégage aussi. Donc ça, j’aimais bien cette approche-là, le fait d’être dans l’autonomisation.
J’avais défini ma stratégie, je posais des pas dans une direction que j’avais choisie. Donc j’ai un peu laissé de côté d’autres choses, mais je sais que je vais y revenir plus tard.
Mon objectif, c’était de générer 2 000 € de revenus supplémentaires mensuels, dans un délai de un à plusieurs années. J’étais plutôt partie sur l’investissement en location courte durée, type Airbnb. Je m’étais dit : un studio ou un T2, ça c’était au tout début. Et je visais ma région.
Rapidement, je me suis rendu compte que dans ma région, ce n’était pas rentable. Deuxième chose : je n’avais pas envie de gérer une location courte durée. En théorie, ça allait, mais en pratique je ne me voyais pas le gérer moi-même. Et déléguer, ça n’aurait pas été assez rentable. Donc voilà.
Je m’étais dit : ce n’est pas grave, je vais faire du crowdfunding immobilier. Je vais générer des revenus qui tomberont peut-être pas mensuellement.
Puis j’ai eu un échange avec une participante de la formation, originaire de ma région. On a parlé d’immeuble de rapport. C’était un sujet qui m’avait beaucoup intéressée lors du live du début, dans l’énergie, l’émulation. Mais je l’avais mis de côté. Et puis j’ai recommencé à regarder dans d’autres régions, notamment dans celle de ma famille. Je me suis rendu compte qu’il y avait moyen de faire quelque chose.
Comme ce n’était pas loin de ma famille, ça avait du sens : je pouvais visiter les biens et voir ma famille en même temps.
Enceinte, l’an dernier, je suis allée visiter des immeubles de rapport. J’ai trouvé un bien très intéressant. Au départ, c’était mon projet à moi, et puis mon compagnon a commencé à s’y intéresser et m’a dit qu’il avait envie de se joindre à moi.
Ensuite, cette année, nous avons visité plusieurs biens avec un vrai potentiel de rentabilité, autour de 10 %. Nous avons fait une offre, acceptée. Nous avons signé l’acte de vente il y a quelques jours.
C’est à 6 heures de route, donc ça demande de l’organisation. Mais je suis déjà propriétaire d’un appartement dans la région, que je gère à distance. Ça ne m’a jamais posé de problème. Là, ce sera juste plus grand.
Je pense que mon regard sur la notion de risque a changé. Avant, on me disait : « c’est risqué » ou « ce n’est pas garanti », et je bloquais. Aujourd’hui, j’ai plus d’esprit critique par rapport à ça, surtout face aux discours traditionnels des banques.
J’ai investi dans une dizaine de projets de crowdfunding immobilier.
J’ai aussi investi en crypto-monnaies, malgré mes a priori.
Je me suis sentie en confiance grâce à la formation et aux échanges avec d’autres.
Ce qui a changé aussi, c’est ma gestion des comptes.
Je l’ai fait les premiers mois, pas pour me restreindre, mais pour prendre conscience de ce dont j’avais besoin pour vivre. Je me suis rendue compte que cette année-là, c’était l’année où j’avais touché le plus de revenus de ma vie. Et j’ai commencé à épargner de façon consciente, systématique.
J’ai aussi appris à m’autoriser à mettre de côté pour moi, à donner et à me faire plaisir. Je me suis offert un shooting photo, un coaching d’image… Des choses que je n’aurais pas faites avant, car je ne me les autorisais pas.
Nathalie, dans sa manière, est cash. Elle dit les choses sans ménager, mais de façon consciente, parce que c’est important que les gens avancent. Elle est bienveillante, pédagogue, patiente. Elle accompagne et questionne, mais pousse à l’autonomie. Elle donne les clés, mais c’est à nous de choisir et d’avancer. J’aime beaucoup ça.
À qui je recommanderais la formation ? À tout le monde, vraiment. À des personnes en difficulté financière, qui ne savent pas comment s’en sortir. À des personnes qui ont un patrimoine mais ne savent pas quoi en faire. À des personnes qui ne veulent plus dépendre de leur travail pour vivre. À des personnes proches de la retraite, qui savent qu’elles n’auront pas assez.
Franchement, c’est tellement large au niveau du contenu, et en même temps spécifique, parce qu’on peut poser des questions et avoir des réponses précises.
J’ai envie de dire : allez-y. C’est un investissement vite rentabilisé. On devrait tous être éduqués à l’argent plus tôt. Ça rendrait la vie plus facile et on prendrait de meilleures décisions plus tôt.
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