Michael E.
« Je me présente, je m’appelle Michaël, j’ai 37 ans. Je vis en région parisienne et je travaille comme consultant dans l’Univers des Spiritueux. Mon travail me prend beaucoup de temps mais, en même temps, j’ai toujours su faire la distinction entre mon travail et ma vie personnelle.
Je suis un passionné de jardinage et de botanique, notamment du jardinage urbain, auquel je consacre beaucoup de temps. J’ai passé plusieurs années de ma vie à l’étranger et c’est là où j’ai vraiment compris le principe de méritocratie et des pays anglo-saxons. C’est-à-dire que plus on travaille, plus on gagne d’argent.
Le rapport à l’argent dans les pays anglo-saxons est différent de chez nous. C’est-à-dire qu’on ne sent pas le fait de voler l’argent. Toutes ces années à l’étranger ont fait que j’ai eu des comptes bancaires dans plusieurs pays, mais j’ai reproduit exactement ça. J’ai utilisé une partie de cette somme, mais en revenant en France, j’avais quand même pas mal d’argent sur plusieurs comptes, et pour moi c’était naturel. Je me disais : « je le laisse, il va fructifier et il y aura des intérêts.
Avant Richesse et Liberté, j’avais plusieurs croyances par rapport à l’argent. La première était qu’il fallait travailler dur pour gagner son argent. Ce qui m’a amené à travailler sur l’argent, c’est une rencontre avec Nathalie Cariou. Il y a près d’un an, elle intervenait sur un weekend avec d’autres conférenciers et elle expliquait notre rapport à l’argent. Plus elle avançait dans sa conférence et plus je me rendais compte que je n’étais pas venu pour rien. Si elle était là, ce n’était pas un hasard et qu’il fallait que je travaille sur mon rapport à l’argent. Comment ? Je ne savais pas. Par où commencer ? Je n’en avais aucune idée. Mais à la fin de sa conférence, j’ai compris qu’il fallait que je fasse quelque chose.
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Aussi étrange que ça puisse paraître, l’un des premiers mentors que j’ai eus en jardinage urbain, nous expliquait que dès lors qu’on plantait une graine, quelle qu’elle soit, il y avait de grandes chances qu’on récolte plusieurs fruits et dans ces fruits on multiplie par dix le nombre de graines. Je trouvais ça assez fascinant : on plante un pied de tomate, on va récupérer plusieurs kilos de tomates et plusieurs centaines de graines avec. Et c’est quelque chose de totalement naturel que de réutiliser les graines de ces fruits pour les replanter.
Nathalie en parle dans la formation, mais au niveau de l’argent, c’est quelque chose que je ne savais pas faire, même que je ne voulais pas faire. L’investissement est comme le jardinage, bien sûr il y a un risque de perte dans les deux cas, mais pour s’assurer d’une récolte dans un jardin, on va planter plusieurs plantes. On s’assurera comme ça qu’il y ait des fruits, et même si certains tombent au sol, c’est la vie, si certains sont pourris, ça fait aussi partie du jeu, et dans l’investissement financier on fera la même chose. On va prendre un dossier, on va l’analyser, on en prendre plusieurs et on sait qu’il y a une part de risque. Mais c’est aussi pour ça qu’on va diversifier les investissements et s’assurer d’un rendement derrière.
Aujourd’hui, je suis conscient d’une chose avec l’argent, c’est que je ne peux pas le laisser sur un compte bancaire. À l’exception de ce matelas de sécurité que préconise Nathalie dans Richesse et Liberté, par où j’ai commencé mes investissements ? C’était avec une conversation avec Nathalie en présentiel.
J’avais fait part de mon ressenti sur le fait d’être un investisseur un peu paresseux ou un futur investisseur un peu paresseux. Et, là, elle avait parlé de tout ce qui est crowd-funding, c’est-à-dire des plateformes qui mettent à disposition des projets sur lesquels on peut investir à partir de 10 euros pour certains projets. Et c’est comme ça que j’ai commencé à m’intéresser à toutes ces plateformes dès le lendemain.
Je me suis d’ailleurs inscrit sur plus d’une vingtaine et j’ai commencé à investir 200 euros par ci, 500 euros par là. Même si, au départ, les projets sur lesquels j’ai investi, étaient surtout des projets d’un domaine que je connaissais. C’est-à-dire tout ce qui était hôtellerie et restauration parce que j’arrivais à comprendre un bilan et j’étais moins à l’aise sur un immeuble de futurs médecins ou de cabinets médicaux.
J’ai profité du confinement pour me mettre sur la bourse et y investir. Quand j’ai démarré Richesse et Liberté, je m’étais dit : « » ça, je ne le ferai pas. » » J’avais une espèce de réticence à la bourse où, encore une fois, je croyais que ce n’est pas pour moi, que je n’allais rien y comprendre, même si Nathalie l’explique très bien.
J’ai profité de ce temps de confinement pour travailler sur les modules de la bourse. J’ai donc investi sur des ETF et suivi une de ses stratégies qui étaient de prendre des actions à fort dividende. Mais je me suis dit qu’il était aussi intéressant de diversifier ça parmi les quatre stratégies et d’aller sur d’autres types d’actions.
J’avais vraiment cette image de la bourse et des traders qui sont des méchants requins de la finance où le « »monsieur tout le monde » », comme j’étais, ne pouvait pas investir parce qu’il fallait de l’argent. Alors que non, pas du tout. On peut démarrer à partir de 80 euros très facilement. Aujourd’hui, que ça soit sur les paniers d’actions ou sur les actions en elles-mêmes, j’ai gagné de l’argent. Mais à la bourse, on ne gagne pas ou on ne perd pas tant qu’on n’a pas vendu. C’est totalement sécurisé, si on suit les stratégies de Nathalie.
Qu’est-ce qu’est le plus important pour moi aujourd’hui quand j’investis ? Plusieurs choses et la première c’est d’assurer ma sécurité personnelle et celle de mes proches sans avoir à travailler à la sueur de mon front durant des heures pour un gros salaire.
Comment est-ce que j’ai vécu le confinement ? Totalement différemment de la crise de 2008. En 2008, j’étais financièrement à l’abri, socialement bien, tout ce qu’on peut avoir, sauf que j’ai extrêmement mal vécu cette crise. En 2020, je perds 90% de mes revenus, je me sépare et je m’éloigne d’un entourage et je le vis extrêmement bien, avec beaucoup de bonheur, beaucoup de joie, parce que je sais que c’est le renouveau sur le plan personnel et professionnel.
Je me suis notamment remis dans plusieurs modules de Richesse et Liberté. Je me suis remis à refaire la formation depuis le début, puisqu’on avait du temps et je l’ai beaucoup mieux vécu. J’ai perdu 90% de mes revenus directs de par mon travail. Ce que je devrais dire : « » est ce que je les ai perdus ? Ou est-ce que je ne les ai pas gagnés ? » » Il y a un an, j’aurais dit que je les aurais perdus. Aujourd’hui, je ne les ai pas gagnés.
Je ne les ai pas gagnés du fruit de mon travail, mais ce n’est pas grave parce que ça c’est un des aspects importants de Richesse et Liberté, d’apprendre à lâcher prise sur l’argent. On est aujourd’hui à un an après Richesse et Liberté. Un an après, la transformation est exponentielle. C’est vraiment intéressant de voir comment j’étais au démarrage, toutes les croyances que j’avais, toutes les incertitudes, dans quoi je m’engageais parce que c’est engager de l’argent.
Je recommanderais Richesse et Liberté à un maximum de gens, à la fois les plus jeunes, pour commencer à investir, pour commencer à être dans l’abondance et dans la liberté financière. Je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt. Même si j’en avais entendu quelques paroles par ci, par là, je n’avais jamais pris conscience de ça et c’est en ça que Nathalie et Richesse et Liberté, vont vous aider pas à pas.
Ce n’est pas un programme dans lequel il faut s’attendre à ce que Nathalie soit une babysitteur financière. Non ! Nathalie va parfois mettre des gifles de réalité dans ce qu’elle dit. Ça fait mal ! On n’a pas toujours envie de l’entendre, mais c’est intéressant de se dire que si, à un moment donné, on braque sur quelque chose, peut être qu’il y a quelque chose à travailler derrière.
Je trouve intéressant que des gens investissent dans Richesse et Liberté, à la fois, lorsqu’ils sont en difficulté financière, qui n’était pas mon cas, mais ça peut leur permettre de se remettre à flot, financièrement, avant d’investir, et, par la suite, de se dire : « » OK, je suis maintenant à zéro. Je n’ai plus de dettes, je n’ai plus de crédit. Est ce que ce serait le moment pour moi d’investir ? Et comment je peux le faire ? »
Par les différentes stratégies qui sont très bien expliquées dans le programme, en fonction de ce qu’on a envie d’investir. À l’opposé, j’ai fait partie de ces gens qui ont bien gagné leur vie, qui ont plutôt accumulé de l’argent, mais qui n’ont jamais essayé de le faire fructifier, pas par manque d’envie, mais simplement parce que je n’avais pas les outils. Je ne cherchais pas non plus des outils.
Richesses et Liberté aide aussi les personnes comme ça parce que Nathalie, comme je l’ai dit tout a l’heure, ce n’est pas quelqu’un qui va arrondir les angles mais à un moment donné elle va aussi confronter les gens. On est dans un pays où l’argent est tabou et il faut aussi être confronté à ça.
Nathalie est directe dans ce qu’elle dit. Elle ne cherche pas, encore une fois, à faire du babysitting. Elle cherche à faire prendre conscience aux gens que l’argent c’est fun, c’est cool, et que c’est drôle et que c’est un outil, et comme tous les outils, il faut savoir s’en servir. Nathalie est aujourd’hui la seule femme qui parle de l’argent sans complexe, sans tabou et de manière assez ferme.
Si à un moment donné on ne prend pas rendez-vous avec soi-même, ne serait-ce que pour 30 minutes ou une heure dans la semaine, pour au moins faire ses comptes bancaires, voir ce qu’on a dépensé par rapport à ce qu’on a gagné, ça ne fonctionne pas.
On n’a pas de bon ou mauvais rapport à l’argent. On a un rapport qui est dû à notre éducation, à nos croyances.
Il y a un an, quand j’ai entendu Nathalie au cours de sa conférence, j’étais quelqu’un qui avait besoin. Pourquoi ? Je ne sais pas. Mais sur mon compte courant de banque traditionnelle qui ne rapporte rien du tout, il fallait qu’il y ait 10 000 euros. C’était vraiment quelque chose de sécurisant pour moi, même si je ne les utilisais pas, il fallait qu’ils soient là. Dès lors qu’on descendait en dessous, je sentais un certain manque, une sensation de manque ou une gêne. C’était que passager.
J’aurais très bien pu travailler là-dessus, depuis très longtemps, parce que j’ai fait ça aussi sur pas mal de comptes bancaires étrangers. Moins de la moitié suffisait pour vivre confortablement et pour faire travailler cet argent à ma place.
Mon compte courant aujourd’hui est aux alentours de 1500 à 2000 euros et c’est très bien. »
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