Anamaria
« Étant mère célibataire avec deux enfants et en tant qu’enseignante, je gagnais environ 2000 euros par mois, ce qui pas du tout suffisant pour les fins des mois. Je manquais d’argent, je manquais du temps et mes filles avaient des besoins très différents de par leur différence d’âge. Elles me demandaient beaucoup au niveau du temps qu’au niveau de l’argent.
Alors qu’elle était lycéenne, ma fille ainée avait très envie d’aller continuer ses études au Canada ou aux États Unis et je cherchais des solutions pour lui concrétiser ça, sans vraiment savoir comment j’allais pouvoir les financer. Je ne voulais pas la brimer, sachant que tout se passe dans la tête de dire qu’on ne peut pas faire quelque chose et arriver à ses buts, mais je ne voulais pas lui mettre cette idée dans la tête. Je voulais plutôt qu’elle pense que tout est possible, mais en même temps je ne savais pas comment faire.
J’ai reçu un mail de Nathalie Cariou, sans savoir trop comment elle a eu mon mail, et j’ai regardé les vidéos qu’elle proposait et je me suis dit : « Est-ce que ce n’est pas encore une arnaque ? Est-ce ça ne va pas être du n’importe quoi ? ». C’était une formation qui coûtait un peu d’argent et ce qui m’a frappé dans sa démarche c’était sa sincérité. On voyait vraiment qu’elle parlait avec son cœur et que ces propos étaient sincères.
C’est ce qui m’a séduit dans sa présentation, surtout quand elle parlait de son propre parcours et comment elle a commencé avec des boulots comme faire la caisse dans un super marché ou des choses comme ça. Donc je me suis dit : « si elle a réussi et que je la trouvait sincère, alors je devrais pouvoir y arriver aussi. »
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Une autre chose qui m’avait convaincue aussi était son discours sur la relation par rapport à l’argent. Je n’avais jamais pensé auparavant qu’il y avait une vision différente de l’argent pour certaines personnes qui réussissent par rapport à la majorité qui a un petit peu du mal à gagner plus d’argent. Je me suis posée la question si je ne faisais pas partie de ces gens qui n’ont pas la meilleure relation à l’argent par rapport à leurs objectifs.
Il y a eu beaucoup de choses dans cette formation qui ont été vraiment régulatrices pour moi. D’un côté, il y a avait la préparation mentale avec plein d’exercices déterminants sur l’état d’esprit, et d’un autre côté, des exercices pratiques pour chaque notion.
Dans sa formation, Nathalie donne des stratégies pour investir sans pour autant dire qu’il faut investir. Par contre, on apprend sans trop se rendre compte de ce qui est bon et ce qui est moins bon pour investir. On apprend comment faire un choix par rapport à tout ce qui nous entoure et ce que nous est proposé et de se créer une attitude gagnante.
Un des plus de cette formation était le fait de pouvoir travailler chez soi et dans le calendrier qui nous convient. On peut intégrer cette formation dans sa vie sans avoir besoin d’aller à des horaires précis. Donc la formation a été vraiment très adaptée.
Une fois la décision d’acheter un appartement était prise, j’ai commencé à chercher et au bout de deux semaines je suis tombée sur ce bien. J’ai visité pas mal d’appartements et celui-ci me paraissait avoir un très bon rapport qualité/prix et j’ai tout de suite fait une offre. Je l’ai acheté au prix qui me convenait quelques mois plus tard.
Il n’y avait pas vraiment de gros travaux à faire dans cet appartement comme il a été refait à neuf par les anciens propriétaires. Je l’ai juste meublé et refait la décoration et quelques autres petits aménagements. Un mois après l’avoir acheté et aménagé, je l’ai lancé et le taux de remplissage s’est avéré être de 100% tout de suite. Aujourd’hui, après 10 mois d’exploitation, je suis toujours à un taux de remplissage qui frôle 100%.
Une fois que j’ai tout payé, les crédits, les charges, les frais de ménage et tous les autres frais annexes, cet appartement ma rapporte un cash-flow de 1000 euros par mois.
Juste après la mise en location de cet appartement et convaincue par le démarrage en puissance des locations, j’ai enchainé sur la recherche d’un deuxième bien. J’hésitais entre l’achat d’un autre studio sur Toulouse ou bien un immeuble de rapport sur Tours, car à Toulouse les prix ne sont pas les mêmes. Pareil, au bout de 2 à 3 semaines, j’ai trouvé cet immeuble à 75 000 euros et j’ai signé le compromis de vente tout de suite.
Jusqu’alors, ce mois courant, je suis à l’équilibre dès le démarrage. D’après mes calculs, cet immeuble devrait me rapporter dans le pire des cas entre 1000 et 1500 euros nets par mois. Le virus d’investir s’est emparé de moi et je n’ai absolument aucune envie de m’arrêter là. Je vais certainement acheter un studio dans l’année suivante, avant de pouvoir quitter mon travail.
L’arrêt de mon travail me permettra justement de consacrer plus de temps à mes enfants et de ne plus entendre le réveil sonner tous les matins, ce qui est assez pénible pour moi. Je pourrais aussi aller voir ma fille régulièrement au Canada comme elle part suivre ses études à Montréal dans un mois, comme elle le souhaitait.
La formation de Nathalie m’a vraiment permis de devenir quelqu’un d’autre. J’étais élevée dans une famille communiste en Roumanie et pour mes parents ils croyaient que l’argent ne pouvait jamais venir comme ça et qu’il faut travailler dur pour le gagner. Dans la famille, l’échange temps contre argent était indispensable pour gagner sa vie et l’idée de l’entrepreneuriat ne nous correspondait absolument pas et ce n’est pas quelque chose qu’on pouvait faire.
Lorsqu’on a des revenus moyens, les banques nous freinent certainement par rapport aux demandes de crédit, mais, en revanche, c’est la ténacité et l’envie d’y arriver qui font l’affaire. Et c’est surtout le travail préalable pour constituer un dossier parce qu’à chaque fois que j’allais dans une banque, j’y vais avec un dossier bien construit avec tous les documents bien réglés. Alors à chaque fois qu’ils me demandaient un papier quelconque, je l’ai déjà dans mon dossier. Il fallait donc y croire et y aller avec le sourire, la détermination et la certitude qu’on peut y arriver.
Quand j’ai commencé à investir, mon objectif était d’acquérir deux appartements par an, pendant cinq ans, afin d’arriver au nombre de dix appartements. Un an plus tard, je suis déjà à six appartements.
Même si je vais aller travailler en tant qu’enseignante, c’est sûr que l’immobilier est quelque chose que je ne vais pas arrêter. Ce n’est pas possible pour moi de passer dans la rue et de voir une annonce immobilière et de ne pas m’arrêter. Mes filles me disent : « Maman, mais arrêtes de t’arrêter là, c’est quand même pénible. » C’est devenu vraiment quelque chose d’indispensable pour moi et j’ai besoin de continuer là-dedans.
C’est quelque chose qui me plait. »
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