Emilie P.
Je m’appelle Émilie, j’ai 38 ans et je suis fonctionnaire.
Je travaille dans l’administration, comme assistante administrative.
Je suivais mes finances avant de connaître Richesse & Liberté de manière régulière. J’avais une certaine peur de manquer et j’avais l’impression que le monde de l’argent, de la finance, des placements, était réservé à une élite. Que ce n’était pas du tout à ma portée, soit par mon éducation, soit par le milieu professionnel dans lequel j’évolue.
C’était quelque chose auquel je m’intéressais, mais qui me semblait inaccessible. Ça me faisait un peu peur aussi.
Concrètement, ça faisait plusieurs années que j’avais conscience de l’importance d’avoir de l’épargne, que ce soit pour la sécurité ou pour anticiper l’avenir : la retraite, un projet nécessitant un gros financement.
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Hormis blinder mon Livret A, puis ouvrir un LDDS, je n’allais pas plus loin. Je n’avais pas d’argent qui dormait sur mon compte courant, mais je n’osais pas aller au-delà. Pour moi, le crowdfunding, l’immobilier, je n’en avais jamais entendu parler.
Les cryptos, j’avais de très vagues notions. L’immobilier me semblait réservé à une caste initiée. La bourse, encore moins : je n’y connaissais absolument rien. Ça me paraissait inaccessible.
J’étais sur l’épargne traditionnelle, presque en mode tirelire. J’avais un PEL ouvert par mes parents quand j’étais ado, que j’avais continué à alimenter. Mais je restais sur des placements garantis, avec des taux de moins en moins intéressants à cause de l’inflation.
J’avais l’impression de faire du surplace. De ne pas utiliser les ressources, les outils disponibles autour de l’argent, par manque de connaissances et par peur.
Je souhaitais aller plus loin, comprendre pour ensuite pouvoir choisir de manière raisonnée, et avancer pas à pas.
Je suis quelqu’un qui a besoin de comprendre avant de me lancer, donc hors de question de “jouer au loto” en mettant de l’argent sur une action que je ne comprenais pas, sans connaître la fiscalité, l’imposition, etc.
Ma peur de manquer se traduisait par une surveillance constante de mes dépenses. Ce n’est pas mauvais en soi, mais si une grosse dépense arrivait — par exemple changer la chaudière — pour moi, c’était la fin du monde.
Alors que j’avais une épargne de précaution pour couvrir ce type d’aléas.
Il n’y avait pas de raison d’être dans l’angoisse, mais j’avais cette peur.
Il n’était pas question de perdre de l’argent, parce que ça pouvait me manquer plus tard.
À côté de ça, je ne pense pas être radine : de belles vacances, un cadeau pour les 50 ans d’une amie, je me fais plaisir. Mais globalement, j’étais toujours vigilante. “On ne joue pas avec l’argent.”
Je ne voulais surtout pas le mettre dans quelque chose où je risquais de perdre.
J’avais la peur de manquer et la peur de perdre.
Un placement avec un risque me figeait complètement. J’avais l’impression que c’était aléatoire, comme jouer au casino.
Investir dans une formation financière, je n’étais pas opposée au principe, mais j’avais peur de tomber sur une arnaque.
Au départ, on travaille sur la psychologie par rapport à l’argent : la peur de manquer, l’environnement familial, social, professionnel. Ça m’a permis de me poser des questions.
Je m’intéresse au développement personnel, donc ça faisait sens.
Derrière, il y avait aussi des conseils et formations beaucoup plus poussés. C’est ça qui m’a attirée ensuite : le côté approfondi.
Un panel d’options en matière d’investissement. On choisit ce qui nous correspond, on n’est pas figé. Même avec des profils différents, chacun y trouve son compte.
Moi, découvrant cet univers, je voulais quelque chose de large pour avoir un point d’entrée adapté.
Il y avait aussi les coachings, les modules sur les croyances. Ça permet de garder un pied dans la formation sur une année.
C’est motivant de savoir qu’on a un coaching dans 5 jours, ou un groupe sur la manifestation et les croyances.
Le fait qu’il y ait différents supports et formats, c’était un gros plus. Ça fait partie de la richesse de la formation.
C’est concret. Il n’y a pas de langue de bois. J’apprécie beaucoup le côté direct de Nathalie.
Elle dit les choses telles quelles, et j’aime ce tempérament, plus authentique que quelqu’un qui met trop de formes.
Dans la partie investissement, j’ai pris les modules dans l’ordre.
D’abord l’immobilier. Ensuite la bourse, le crowdfunding. Et petit à petit, en parallèle, j’ai commencé à creuser dans la vraie vie.
La bourse, je m’y suis lancée doucement : un PEA, un petit ETF. Tranquillement. On se renseigne, on s’informe, on regarde des vidéos, des chaînes éco, on s’abonne à des newsletters.
Le crowdfunding immobilier, j’y suis. Complètement grâce à la formation, parce qu’avant, je ne connaissais pas du tout.
J’ai investi dans 5 ou 6 projets différents. Mon premier vient d’être intégralement remboursé.
J’y suis allée avec une certaine confiance, parce que je comprenais enfin le sujet.
Aujourd’hui encore, beaucoup disent que le crowdfunding immobilier est risqué. Mais j’ai appris à lire les projets : les garanties, la durée, la nature, s’il y a des travaux, etc.
Quand je fais un investissement, je le fais avec des raisons solides, qui me laissent penser que le projet tient la route.
Je n’y vais pas en mode “on verra bien si ça revient”.
On apprend, on découvre, on avance pas à pas. On n’investit pas de grosses sommes au début. Je me sens plus à l’aise.
Cette formation peut s’adresser à des jeunes qui commencent à gagner leur vie et qui se demandent :
“Est-ce que je fais juste comme mes parents m’ont appris ? Est-ce qu’avec mon mari on met sur un compte commun et on se répartit les charges ? Ou est-ce que je développe quelque chose pour ma retraite, pour prendre ma retraite plus tôt ?”
Elle peut aussi s’adresser à des personnes sans idée de gestion de budget, qui sont dans un cercle d’endettement ou de dépenses non maîtrisées, qui ont l’impression de ne pas comprendre l’argent. Les premiers modules approfondissent bien ces thèmes-là.
Quelqu’un qui n’a jamais voulu se former sur l’argent, par peur, par sentiment que ce n’est pas pour lui, que c’est trop compliqué, qu’il ne comprendra pas, qu’il ne sera pas assez épaulé : la formation offre ça.
Même dense, avec des sujets complexes, le concept reste accessible.
Pour moi, la formation correspond à ce besoin : s’intéresser au sujet, même en débutant complètement, sans se sentir idiot ou bête.
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