Emmanuelle B.
Je m’appelle Emmanuelle.
J’habite en Île-de-France, dans le Vexin, et je travaille dans la culture.
Je suis conseillère aux études en conservatoire.
Avant Richesse & Liberté, je n’avais pas de rapport à l’argent.
Je partais du principe que ce qui rentrait ressortait.
Je ne m’occupais pas du tout de mon argent. J’étais à découvert en permanence.
J’avais réussi à négocier avec la banque un découvert autorisé qui palliait mon découvert, assez important quand même. Mais je ne m’en occupais pas. Mon découvert s’est installé pendant plusieurs années.
À un moment, je me suis dit : ma fille arrivant aux études supérieures, et mes deux enfants ayant leurs études qui approchaient, il fallait faire quelque chose. Ne serait-ce que pour moi, pour ma sérénité personnelle.
Je voyais que ça commençait à me bloquer au niveau des projections, même pour les vacances, pour plein de choses. Parce que je n’ai pas une situation catastrophique. J’ai des revenus corrects, mais malgré ça, je n’arrivais pas à en profiter. Je voyais bien qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas.
Ce que j’ai vraiment appris dans la formation, c’est que le contrôle de ses finances n’est pas si difficile à mettre en place. À partir de là, il faut juste y aller, avec quelques conseils.
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Comme on est coaché dans cette formation, on est suivi. On a plein de petits conseils, de petites astuces. Moi, je n’ai toujours pas fini. J’y suis encore. Je n’ai pas encore vu toutes les vidéos, mais déjà en un an, je vois la différence. J’y vais à mon rythme, mais je le fais. Et c’est facile.
Oui, j’ai retrouvé la sérénité parce que je ne suis plus à découvert. Je peux profiter de mon argent. Mon budget régulier est géré.
Tout ce qui arrive en plus, maintenant, je le dédie : investissements, compte crocodile et économies. 33%, 33%, 33%.
Je gère complètement différemment tout cet argent. Même si ce n’est que 20 euros, je le fais quand même.
Ça demande de l’énergie, mais il y a une forme de jeu.
Je me suis dirigée vers le crowdfunding. Je me suis dirigée vers ça parce que, là où j’en suis, c’est le plus simple au niveau investissement, et le plus rentable de ce que je connais : 11,5% – 12%.
Je me suis dit que ce n’était pas mal de tester. On peut tester avec des petites sommes. Pour le moment, je n’ai investi que des petites sommes, mais plusieurs. La première fois, j’ai été mesurée, je n’ai pas eu peur. Je sais qu’il y a un risque.
J’ai placé en attendant de voir comment ça se passait vraiment : s’il n’y avait pas d’arnaque, etc.
Au final, ça se passe très bien, ça m’encourage à continuer. Je n’ai pas eu peur parce que j’y vais très lentement. Même dans cette formation, je prends le temps de réfléchir, d’analyser, de voir ce qui est possible sans que ça me mette en difficulté. C’est une gestion sereine.
J’investis et après je laisse faire. Je suis tenue informée très régulièrement de ce qui se passe. J’ai même déjà eu des remboursements.
L’objectif à long terme, ce serait de générer un revenu passif. J’ai un projet d’investissement en location courte durée. J’y réfléchis vraiment. J’ai un petit cahier sur lequel je note tout, je prépare.
Je mise là-dessus : un projet d’investissement en location courte durée pour générer des revenus passifs.
Le crowdfunding, pour le moment, je le vois comme un moyen de faire travailler de l’argent dont je peux disposer, assez régulièrement, pour pouvoir investir ensuite dans d’autres choses.
On s’est offert un petit voyage. Une semaine tous les trois avec mes deux enfants. On en a bien profité.
J’avais prévu un budget que j’ai explosé. Mais c’était prévu. Je n’ai pas eu de conséquences, parce que j’avais anticipé la possibilité d’exploser ce budget. Comme c’était à l’étranger, je ne savais pas trop. On était dans l’idée de profiter, de se faire plaisir.
On est revenus sans conséquence financière, puisque j’avais pu le prévoir en amont.
Je réfléchis différemment par rapport à l’argent et aux investissements. Je vois des choses envisageables. Certaines m’attirent, mais je n’ai pas l’énergie actuellement pour les faire.
Alors je ne les fais pas, mais je les garde dans un coin de ma tête. Éventuellement avec un associé, ce serait faisable.
Le fait d’avoir travaillé sur la croyance secrète m’a demandé du temps. J’ai mis plusieurs semaines, peut-être même plusieurs mois. Mais ça a débloqué énormément de choses. Depuis cette formation, je suis dans une dynamique complètement nouvelle. J’ai encore des choses à travailler, notamment sur mon rapport au travail. C’est très clair.
Mais je suis dans une dynamique de prendre du temps et de consacrer de l’argent pour moi. Ça m’a amené un autre dynamisme. Je me dis maintenant : dans ton budget, tu consacres une partie pour toi.
J’ai aussi changé de travail, pour un poste qui me correspond plus, là où j’en suis. Mais je vois bien qu’il faut que je rééquilibre mon rapport travail-vie personnelle.
C’est une formation qui, je pense, peut être porteuse pour des personnes qui rencontrent des difficultés et qui ont envie de s’en sortir.
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