Françoise : J’ai eu le même parcours que William : monter des affaires, des réussites, des chutes et puis plus rien. Petit à petit, j’ai fait comme William, j’ai lâché. Après, petit à petit, je me suis reconstruite, j’ai rencontré des gens fabuleux qui m’ont aidé à me reconstruire, jusqu’à Nathalie et William.
Ce que j’ai appris de la pédagogie de Nathalie, c’est cette compréhension qu’elle a envers chacun, de notre manière d’appréhender les choses, cet univers de blocage de l’argent, c’est qu’elle nous fait en douceur. En même temps, on est nombreux, mais en même temps on est seul. C’est sa manière de faire qui est incroyable et que je trouve formidable. Et toi ?

William : Oui, oui, tout à fait ! Elle arrive à traiter un ensemble de personnes et en même temps à être individualiste sur chaque cas. Le fait de diviser des groupes, ça faisait partie de sa précision, parce que je pense que Nathalie a quand même deux choses : elle est une très bonne thérapeute, mais, en plus, elle a quelque chose de plus que ça. Elle comprend les mécanismes psychologiques et les blocages des uns et des autres, mais ça va plus loin. Elle a une analyse intuitive.
Si on revient sur le plan financier, – sachant que j’ai une carrière assez longue de 35 ans de commerce, dans des activités différentes -, j’ai toujours cru qu’il fallait être hyper spécialisé dans ce qu’on faisait pour réussir. C’est une croyance que j’avais comme ca et que le travail égale argent. Avec tant de travail, je dois arriver à gagner de l’argent et avoir une certaine aisance.
Donc, Nathalie nous a appris que finalement ce c’était une croyance… (Françoise : très limitante) qui prenait sa source dans le populaire et que l’argent est une énergie. Qu’il faut se servir de cette énergie, et que ce n’était pas lié à une compétence. On peut développer des compétences c’est clair, mais mettre la barre trop haut en compétence ça ne veut dire rien, on peut gagner de l’argent sans mettre la barre top haute pour les compétences.
Donc, ça m’a un peu déstabilisé parce que j’ai été toujours cherché à être un peu perfectionniste dans ce que je fais et c’était une perte du temps finalement. Mais ça ne m’empêche pas qu’il faut quand même rester vigilant. Quand on manipule l’argent, le commerce et les affaires, il faut quand même rester vigilant. Il faut s’autoriser à prendre des risques, les calculer, mais surtout prendre des risques et ne pas se mettre des barrières qui ne sont pas justifiées, tout simplement.

Françoise : Typiquement, on dit : « De sauter dans le vide ».

William : Oui, à un moment donné, il y a cette part de « sauter dans le vide ». Ça se calcule aussi avant, ca se pèse le pour et le contre, mais il y a un moment où on saute dans le vide. Et ce saut dans le vide, on le fait de sa confiance en soi-même. Et la confiance en soi-même se travaille par l’annulation de toutes ces barrières, de tous ces blocages qu’on fait et Nathalie l’a très bien compris.
Ça a été extraordinaire parce qu’on a vu des gens autour de nous complètement changer, et se lancer dans des projets incroyables, alors que c’était des gens complètement introvertis, ils n’avaient pas confiance en eux et qui, aujourd’hui, ils montent des projets extraordinaires. Wow, ça fait du bien !

Françoise : La notion énergétique de la formation sur l’argent, ça, je le savais déjà comme je travaillais dans l’énergétique, que l’argent c’est une énergie, mais je ne savais pas comment l’aborder parce que pour moi c’était plus intuitif, alors que là, c’était beaucoup plus concret.

William : Oui, c’est ça ! Nathalie nous a fait comprendre que c’était avant tout une énergie, et qu’il faut que cette énergie circule. Elle ne devait pas rester statique et c’est complètement vrai. L’argent, c’est une énergie mais c’est aussi un partage. Il faut aussi le partager et pas le maintenir ou le bloquer ou de le mettre sous son bas de laine et puis le regarder grossir du jour en jour, ça ne sert à rien, ce n’est pas énergétique.
L’énergie de Nathalie c’est de faire circuler l’argent et de l’utiliser pour un tas de choses, pour son bien personnel mais pour le bien de tout le monde aussi. C’est un partage et on peut aider les autres aussi avec de l’argent. Nathalie a dédramatisé -(ce que tu disais toute à l’heure)- le rapport avec l’argent et donc il faut s’en servir vraiment comme une énergie créatrice.

Françoise : Notre projet est de faire des laveries pour avoir des revenus mensuels et… (William : automatiques) automatiques, et de ne pas travailler surtout.

William : En fait, on espérait y trouver dans trois mois, dans un trimestre encore, parce qu’il y a des travaux assez longs et il y a aussi des négociations au niveau du bail, pour l’aspect juridique ça va aller, pour l’aspect financier je pense que ça va aller aussi. Donc, d’ici deux-trois mois on sera prêts.
Ensuite, pour le cash-flow, il faut amorcer quand même parce que, comme c’est le cas avec tout commerce, il y a une zone de cinq-six mois où il va falloir lancer et promotionner le commerce dans le quartier. Donc, on pense trouver un équilibre peut être dans la première année. Ensuite, on espère avoir une rentabilité de cash-flow entre 20% à 25%.
Ça devrait générer 1500 à 2000 euros par mois, ca dépend des points de vente et comment ils fonctionnent. Une fois qu’on aura validé toutes ces étapes, qu’on aura ouvert la première (laverie), on pourra avoir une maîtrise complète du concept. Après on pourra essayer de faire l’effet de levier, parce que comme Nathalie nous a appris, une fois qu’on a tout mis en place, qu’on a maîtrisé les éléments, on va s’en servir pour dupliquer et faire l’effet de levier, que ça soit au niveau financier ou au niveau commercial aussi.

Françoise : De toute façon, ça va nous permettre de faire autres choses : de la location, de la colocation, de diversifier notre activité.

William : Oui, c’est vrai, parce que j’ai appris par expérience qu’il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Nathalie sait aller récupérer cet extrait de notre essence et de nous mettre notre doigt dessus pour qu’on en prenne conscience et qu’on se permet de dépasser nos limites aussi. C’est extraordinaire, c’est incroyable.

Françoise : Oui.

William : Je pense que Nathalie sait toucher le cœur et l’âme des personnes. Donc, c’est pour ça que la richesse est beaucoup plus large qu’on l’aurait pu penser au départ.

Françoise : Oui.

William : C’est pour ça que c’est un grand voyage et …

Françoise : Et un beau voyage.

William : C’est ça ! Pour ceux qui le sentent, c’est un joli chemin. »