Madelaine L.
J’ai 80 ans et je travaille, je fais du marketing relationnel. J’ai été professeure toute ma vie, notamment à l’étranger, mais je n’ai pas cotisé pour ma retraite. Etant mariée à un universitaire, j’ai élevé mes 3 enfants sans avoir à travailler pendant presque 15 ans.
On était en Nouvelle-Zélande lorsque je travaillais en tant que professeure de français, et donc je n’ai pas cotisé pour ma retraite. Après, j’ai divorcé dans la cinquantaine et j’ai eu la moitié de la retraite de mon mari qui était bien. Je suis venue en France avec mes deux valises à 53 ans, j’ai acheté mon appartement et j’ai passé le CAPES d’anglais. J’ai continué à travailler dans l’éducation nationale jusqu’à l’âge de 66 ans et je me suis retrouvée avec une retraite très mince, faute de courte cotisation. Alors je me suis dit : » Qu’est-ce que je vais faire ? »
J’ai fait des traductions puisque je suis bilingue et un soir je vois l’illustration d’un livre qui s’appelait « Become a Magnet to Money ». Je me suis dit : « ça, ça doit être pour toi parce que l’argent et toi ce n’est pas possible. Car à 66 ans tu te retrouves avec si peu d’argent alors que tu as quand même contribué et travaillé toute ta vie. »
Et c’est comme ça que j’ai traduit un livre de Bob Proctor, qui est un très grand coach financier américain, et ça s’appelle « Devenez un aimant à argent dans la mer de la conscience illimitée ». J’ai traduit ça plus au moins mot à mot. Autrement dit, on attire l’argent quand on reconnait en soi notre puissance spirituelle. Ça a commencé comme ça.
Je me suis un petit peu fait bousculer mes croyances vis-à-vis de l’argent et il s’est trouvé que j’ai rencontré Nathalie et j’ai été attirée par sa personnalité. J’ai vu que l’argent était très boueux dans mon enfance.
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Ensuite, j’ai épousé un anglais qui était universitaire aussi. Donc je n’ai pas eu de souci d’argent pendant ma vie adulte, mais c’est quand j’ai divorcé, assez tard, que je me suis rendue compte qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas.
Le fait de fréquenter Nathalie et de l’aider sur la promotion du programme Richesse et Liberté, a fait que je vis maintenant dans un milieu qui parle argent, qui a des relations assainies avec l’argent, qui travaille sur ses relations à l’argent, et ça me plait beaucoup. Ce n’est plus quelque chose de caché et ça m’a beaucoup soigné.
Bob Proctor, un des plus grands coachs américains de développement personnel sur l’argent disait : « Il y a trois façons de s’enrichir : la bourse, l’immobilier et MLM (multiple level marketing). » Ce dernier terme que je ne connaissais pas ce que ça voulait dire. J’ai cherché et j’ai appris que c’est le marketing relationnel.
Contrairement à tout le monde, moi, j’ai cherché un marketing relationnel. Je dis « contrairement à tout le monde » parce que ce n’est pas évident de l’expliquer, les gens qui le connaissent ont souvent des idées fausses sur le système, alors que moi j’ai été très enthousiaste dès le début et je le suis toujours. Et avec les années, je me rends compte que le vrai problème c’est la relation à soi.
Entre 66 et 72 ans, j’ai fait des traductions, mais j’avais deux filles qui n’avaient pas fini leurs études. En plus de ça, elles étaient venues en France avec moi et il me fallait donc beaucoup plus d’argent que j’avais. Vers 72 ans, j’ai rencontré cette traduction de Bob Proctor et j’ai cherché un marketing relationnel.
On va dire que j’ai commencé à 73 ans, ce qui implique qu’on peut commencer à n’importe quel âge et que n’importe qui peut le faire. La preuve c’est que j’étais professeure toute ma vie et que maintenant je vends des produits, bien que c’est un peu plus compliqué que ça. Donc c’est vraiment à la portée de tous.
Plus les années passent, plus je réalise que c’est la valeur qu’on s’apporte à soi qui va faire qu’on va s’enrichir ou pas. S’enrichir à tous les niveaux que ce mot implique, évidemment. Je le réalise bien parce que je recrute mes distributeurs plutôt par internet, donc je ne les connais pas, et ainsi je vois bien que c’est là qu’il y a leur vérité. Je ne vais pas pouvoir faire grand-chose si ces distributeurs (personnes) ont un sentiment de manque. Ce que je fais, je leur recommande Richesse et Liberté. Je sais que s’ils sortent des mains de Nathalie, ils pourront réussir avec moi.
Donc, on gagne de l’argent comme tous les vendeurs en ayant une marge de 20% à 30% à peu prés sur le prix de vente et on coache, parce que le secret de ça c’est de trouver des gens qui font comme nous. On reçoit de l’argent quand on vend et c’est facile, surtout au début. Ça c’est pour les gens qui auraient besoin d’un complément de revenu.
On dit que la moyenne des familles françaises a besoin de 500 € par mois, c’est l’idéal. Mais si on veut faire une équipe, il faut qu’on trouve des gens qui font comme nous et on gagne ainsi un pourcentage sur leurs ventes. Je n’ai pas choisi la bourse, je n’ai pas choisi l’immobilier, j’ai choisi le MLM.
J’ai commencé le MLM parce que ça me plaisait vraiment et parce que je pense avoir un certain tempérament pionnier. Mais j’ai bien vu aussi qu’à mon âge, c’était la bonne solution. Faire de l’immobilier à 73 ans, ça, sans doute que Nathalie nous trouvera des moyens d’acheter un appartement à 73 ans, mais c’était plutôt le marketing relationnel qui m’intéressait.
On n’a pas ces désavantages ou ces soucis qu’un entrepreneur pourrait avoir et pour quelqu’un comme moi, qui n’aime pas les chiffres, c’était l’idéal. Avec le marketing relationnel et l’affiliation, comme je fais de l’affiliation avec Nathalie entre autres, j’ai retrouvé au moins mon niveau de vie de professeure et Nathalie m’a renforcé là-dedans. J’ai appris que mes finances sont ma responsabilité, pas celle du gouvernement.
Dans Richesse et Liberté, Nathalie nous responsabilise. Elle nous montre les différentes voies qu’on peut suivre et elle nous encourage aussi. D’autant plus qu’il y a ce groupe Facebook où chacun dit ce qu’il fait, donc il y a une sorte d’émulation, et elle est toujours là pour répondre aux questions auxquelles on ne peut pas répondre.
Il y a cet encouragement, cet effet de groupe, mais ce qui me plaît le plus c’est que ça nous libère. Ça libère notre esprit et on voit toutes les diverses possibilités financières qu’on peut faire. On voit des gens qu’on pense n’y arriveraient pas et ils y arrivent. Oui, Nathalie a cette qualité-là.
Je ne suis pas là pour gagner des millions, je suis là pour aider des gens à s’en sortir et aller plus loin, même au-delà de mes résultats financiers. L’argent a une énergie énorme. On peut transformer cette énergie du manque, qui est assez répandue en France.
Chez les anglo-saxons, où j’ai vécu, c’est quand même différent. On a le droit d’être riche. C’est en fait notre devoir de l’être, si on est américain en particulier, alors qu’ici c’est assez honteux.
Pour ce livre, par exemple, elle m’a aidé à le personnaliser, à raconter mon histoire. J’ai osé grâce à elle.
La particularité de Nathalie, quand je la vois et je lui dis : » j’ai envie de faire ça », pour elle c’est acquis. Par exemple, je lui dis : » je voudrais faire des sommets en ligne sur les seniors », parce qu’à un moment donné je me suis fâchée sur l’attitude des gens vers les vieux. Donc je me suis dit : « ce n’est pas parce que tu es vieux que tu ne dois rien faire …etc. » Elle m’a dit : « tu fais un sommet en ligne. Tu fais ceci, cela. » Une dizaine de choses à faire.
Elle est très rapide, quand on dit qu’on a envie de faire quelque chose, pour elle c’est « oui », et elle nous dit comment faire.
À qui je recommande la formation ? À deux sortes de personnes : (1) les gens qui ont besoin d’apprendre quoi faire avec leur argent ou (2) les gens qui ont besoin d’en acquérir ou les gens qui ont peur d’en acquérir.
Nathalie est très sincère, elle ne raconte pas de bêtises, elle ne nous dit pas : » grâce à moi, tu vas gagner des millions…etc. » Ce n’est pas ça du tout. Il y a beaucoup de probité. Et puis, attention, quand elle a quelque chose à nous dire elle nous l’envoie.
Sans Nathalie, je pense que je n’aurais pas fait les choses publiques que j’ai faites. Je me sens entourée alors que je suis beaucoup plus vieille qu’elle, j’ai l’âge de sa maman je suppose. J’ai beaucoup de gratitude pour Nathalie. Elle a toujours été là pour moi.
Parmi mes buts il y a mes petits fils évidemment, il y a ma propre retraite parce que si jamais je m’en vais dans un iPad, j’espère que je n’irais pas là-dans, mais supposons que j’y vais, il faut au moins 3 000 ou 4 000€ pour que les gens se rendent compte de ça. Donc il y a ça, il y a mes petit fils, car c’est moi qui paye les vacances parce que mes enfants étaient professeurs, et il y a cette photo qu’on m’a envoyée du Burkina Faso, et j’ai l’intention d’y construire au moins une maternité. Ça ne coûte que 40 000€, ce n’est pas le bout du monde.
J’ai oublié de dire que si on veut rentrer dans un marketing de réseau, ce n’est pas seulement parce qu’on veut gagner de l’argent, mais c’est parce que c’est un moyen d’avoir plus.
Je sais bien qu’on peut avoir suffisamment pour vivre, mais, personnellement, ça ne me va pas, il me faut plus.
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