Depuis 27 ans, j’ai investi assez rapidement, avec les conseils d’une personne proche, avec mon mari de l’époque.
On a investi dans la location nue.
Mais les notions de rentabilité et de cash flow m’étaient étrangères.
Je voyais : un loyer, un prêt, je complétais ou pas. Voilà.

J’étais dans une stratégie de construction de patrimoine.
Pas dans le besoin de revenus complémentaires.
Je pensais : ce sera pour la retraite, ce sera payé à ce moment-là.
Même si ça prenait 20 ou 25 ans, ça m’allait.

En 2020, j’ai découvert les notions de rentabilité et de cash flow.
Avec le Covid, mon épuisement professionnel… tout a basculé.
Tout a été remis en question, y compris l’immobilier.

J’ai découvert Nathalie deux ans avant la formation, par une amie qui l’avait suivie.
En décembre 2023, je scrolle sur les réseaux et je vois Nathalie apparaître.
Elle proposait un webinaire “bilan de l’année”.
Moi, je suis fan de bilans et d’organisation, donc je me suis inscrite.

Je l’ai découverte avec son chapeau de Père Noël.
Je ne la connaissais pas beaucoup, mais j’ai trouvé ça sympa, naturel.
C’était le bon moment : en 2024, je voulais un renouveau.

J’ai pris de grandes décisions, notamment sur mon immobilier et mes finances.
Donc début 2024, j’étais au taquet.

Quand j’ai rejoint la formation, j’étais dans les premières.
Mes objectifs étaient déjà clairs :

• reprendre en main mes finances avec une méthode,
• revoir mon immobilier, savoir si je vends, je garde, je transforme,
• préparer ma retraite et celle de mon mari, avec la baisse de revenus qui arrive.

C’était urgent de savoir quoi décider.

Et enfin, troisième chose : je voulais être à mon compte, plutôt en ligne, plutôt business digital.
Ça faisait partie du programme.
Je me suis dit : génial, ça coche toutes les cases.

Le programme est comme un grand buffet : on a des clés concrètes pour démarrer.
Moi, j’aime le côté carré, scolaire, avec les modules, les supports, les exemples.
Ça me convenait parfaitement.

J’avais toute ma liste de tâches, ma stratégie.
Les modules immobiliers sont sortis en avril.
Fin avril, j’étais déjà en recherche.
Fin avril, j’avais trouvé le bien.
Je n’ai pas traîné.

J’ai découvert l’immeuble de rapport.
J’ai comparé différentes villes, rayé celles qui ne correspondaient pas, pour me concentrer sur un secteur touristique.

Le premier bien trouvé : une maison pour en faire un gîte de 14 personnes.
On a découvert en avril, signé en décembre, préparé pour la saison, et mis en ligne en avril.
Première réservation début mai.

C’est un nouveau métier : hébergeur touristique.
On a été très bien accueillis par l’office du tourisme, les élus, la communauté de communes.
On est à 30 minutes de la Côte d’Opale, en arrière-pays.
Tourisme campagne-mer, forêt, marche, vélo.

La formation m’a donné les outils pour étudier la rentabilité, comparer les biens, négocier.
Avant chaque visite, je révisais, je préparais mes questions.
Ça a fait baisser les prix.

On a aussi acheté une autre maison, pour en faire des chambres d’hôtes.
C’est nous qui faisons l’accueil et les réservations, parce qu’on veut le faire nous-mêmes.
C’est une activité de retraite.

Ce que j’ai aimé aussi : le schéma où Nathalie compare les types d’investissements avec la charge mentale.
L’immobilier, c’est une grosse charge mentale.
Je confirme.
Mais c’est notre choix.

Grâce à la formation, j’ai pu expérimenter dans le bon format.

À qui je recommande la formation ?
Aux gens comme moi, qui ont des revenus mais qui font n’importe quoi.
Ceux qui payent beaucoup d’impôts, qui ne savent pas quoi faire de leur immobilier, qui ont besoin de revenus complémentaires, de diversification.

Je la recommande aussi aux personnes seules, pour qui c’est plus difficile.
Aux couples qui réfléchissent ensemble.
Nous, on en parle depuis longtemps, et maintenant on initie nos fils.

Je la recommande aussi à ceux qui cherchent l’inspiration, qui ont besoin d’un modèle.
Parce qu’à un moment donné, il faut passer du virtuel au concret.
Sinon, ça ne sert pas.