Les profils
de la liberté financière
Fonctionnaire
Pourquoi avez-vous choisi cette voie ?
Par vocation probablement.
Mais votre vocation s’est brisée sur les rochers de l’inertie, des lourdeurs administratives, des décisions remises au lancement, des réunions interminables.
Aujourd’hui, vous vous sentez prisonnier et le filet dans lequel vous êtes englué s’appelle SECURITE.
Comment quitter un poste où vous avez la sécurité de l’emploi ? Où vous êtes payé.e quoi qu’il se passe (ou presque) ?
Et parfois bien plus que vous ne le seriez dans le privé !
Mais la motivation n’y est plus… vous avez renoncé à changer le système et ne serait-ce cette fichue sécurité, vous vous verriez volontiers voler de vos propres ailes, revenir à vos premières amours, à ce qui vous faisait vibrer jadis.
Vous avez dit retraite ?
Qu’on le veuille ou non, le temps passe.
Il vient un moment où les années que nous avons passées à travailler sont plus nombreuses que celles qui nous restent encore à être actif/ve.
L’heure de la retraite approche.
Il vous reste peut êter 30,25, 20,15 ou 10 ans avant l’âge à partir duquel la société vous autorise à être payé.e à ne rien faire.
Etre payé.e à ne rien faire… l’exacte définition du rentier ou de la rentière. Mais aussi celle du retraité.e.
A condition que votre revenu soit suffisant pour vivre une vie agréable, sans privation, tous vos besoins étant couverts.
Retraité.e
Artiste, RêveurOu écolo
L’argent, ce n’est pas votre truc.
Un mal nécessaire peut-être. Et encore !
Travailler pour la gloire, revenir au troc, s’occuper de la planète, exprimer sa fibre artistique… tout mais pas l’argent !
Vous n’êtes pas vraiment fan de l’argent ; peut-être pas complètement fâché.e (il faut bien vivre !)… mais pas franchement amis non plus !
Ce qui vous motive : la spiritualité, l’art, la beauté, l’écologie.
Vous rêvez d’un monde parfait.
Vous êtes plus fan de la décroissance que de la croissance. Vouloir toujours plus d’argent n’a pas de sens.
L’argent « Avoir » n’a pas de sens pour vous. Mais qu’en est-il de l’argent « Faire » ?
CadreMoyen ou supérieur
Un « beau métier ». Cadre moyen ou supérieur. Des revenus confortables.
Un conjoint, des enfants, une belle voiture, une résidence principale pour laquelle vous avez emprunté sur 20 ou 25 ans, bientôt entièrement payée.
Alors pourquoi ce soudain vague à l’âme ? Cette envie de « tout foutre en l’air » ? Ce besoin d’autre chose de plus consistant ? Cette impression d’être passé.e à côté de votre vie.
Sur le papier, rien de plus simple que de tout plaquer pour vivre autre autre. Pourtant vous n’osez pas !
Trop d’aléas, trop de risques… trop d’inconnu !
Il vous est apparu un jour que vous aviez une mission :
peut-être pas celle de changer le monde (ce serait prétentieux) mais au moins de contribuer à le faire changer ; d’apporter votre pierre à l’édifice ; de lui offre votre savoir-faire, votre talent, vos compétences.
Vous avez choisi d’être entrepreneur.
Artisan peut-être, profession libérale, auto-entrepreneur, commerçant, infopreneur… en un mot, indépendant !
Finis les ordres d’un patron pas toujours reconnu, les méandres décisionnels d’une entreprise tentaculaire, l’activité quotidienne dont on ne voit pas les résultats. Vous êtes désormais votre propre patron, en prise direct avec les personnes que vous servez : clients ou patients.
Vous n’avez pas vraiment l’ambition d’être riche (encore moins rentier !) : vous voulez « juste » avoir les clients qui vous permettront de vivre confortablement – et de savoir que vous êtes entendu, que ce que vous faites en reconnu et apprécié ; qu’à votre niveau, vous faites une différence dans la vie des gens.
A votre compte
A minima
La vie n’est pas toujours simple : perte d’un emploi, problème de santé, divorce après une première vie de mère de famille…
Tant mieux que le chômage existe, que le RSA existe… mais ce n’est pas Byzance !
Une vie à faire attention, à compter, à se sentir de plus en plus exclu.e et hors système.
Une voie sans issue teintée de désespérance. A l’idée que les choses ne changeront jamais. Que vous êtes coincé.e.
En êtes-vous encore au stade de la colère ? Ou a celui de la résignation ?
Et pourtant, il y a bien une voie de sortie, difficile certes, mais bien réelle.
Un environnement familial plus « averti » que la moyenne, des lectures, une bonne rencontre, une formation vous ont convaincu qu’il n’y avait pas qu’une vie dans la vie.
Que vous pouviez, parallèlement à votre profession principale, devenir, vous aussi, un investisseur.
Alors vous avez acheté un appartement pour faire du locatif.. ou vous vous êtes lancé en bourse, en espérant secrètement que cela vous permettra d’améliorer l’ordinaire et, qui sait, de vivre « un jour » sans avoir besoin de travailler.
Seulement voilà : la bourse a ses hauts et ses bas ; votre appartement locatif vous rapporte peu….
Alors à celui qui vous dit qu’il gagne de l’argent avec ses investissements, que l’immobilier lui rapporte de quoi vivre sans « travailler », vous pensez intérieurement que ça n’est pas possible et qu’on ne vous y reprendra pas.
Investisseur
Lorsque vous étiez petit, à l’école, le mot d’ordre était : « travaille pour avoir de bonnes notes ».
Lorsque vous êtes devenu adulte, il a été question de « travailler pour gagner de l’argent ».
Deux formulations, un même système.
Vous avez trouvé un emploi (ou vous avez créé le vôtre), négocié (un peu) votre salaire et sans vous en apercevoir êtes entré dans un engrenage infernal :
Echanger votre temps contre votre sécurité financière.
Un système entier construit autour du travail et de l’argent.
Protecteur (tant que l’on aura besoin de vos bras ou de votre cerveau), pas vraiment rémunérateur, et carrément aliénant : il faut travailer pour gagner l’argent qui permettra de se loger, manger, consommer, profiter de congés durement gagnés.
Sur le fil
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