Sébastien B.
Moi, je m’appelle Sébastien, j’ai 48 ans, bientôt 49.
J’ai été banquier pendant 23 ans.
J’ai fait une reconversion professionnelle il y a un an et demi : je suis passé du salariat à l’auto-entrepreneuriat, indépendant, en tant qu’agent immobilier.
Et comme tu peux l’entendre à mon accent, je suis belge.
Ma relation à l’argent, avant de connaître Nathalie et de faire cette formation, c’était quelque chose de mystérieux, nébuleux pour moi.
Je regardais ça de loin.
J’étais satisfait si, en fin de mois, avec mon salaire, j’avais fait ce que je voulais.
Chaque année, on recevait des primes.
Ces primes servaient à remettre un peu de beurre dans les épinards : payer les vacances, avoir un peu d’avance en cas de tuile.
Mais je n’ai jamais eu d’épargne.
L’argent servait à vivre, manger, sortir, me faire plaisir, payer les vacances, naviguer.
Tant qu’il y en avait, c’était bien.
Est-ce bizarre pour un banquier ? Oui, forcément.
Mais on dit bien que les cordonniers sont les plus mal chaussés.
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C’était facile pour moi d’avoir du recul sur la comptabilité et la gestion des autres.
Je travaillais dans le crédit, je connaissais les capacités de remboursement.
J’ai toujours bien conseillé mes clients.
Mais pour soi-même, à force d’être tout le temps dans les chiffres, quand on doit se remettre dedans le week-end, ça donne l’impression de retourner au boulot.
Alors je ne le faisais pas.
Ça ne me posait pas problème… jusqu’à ma reconversion.
Quand j’ai décidé de changer de métier, je savais que le salaire fixe allait s’arrêter.
Plus de revenu garanti.
Il fallait penser autrement, anticiper, savoir où partait l’argent.
Parce que je ne savais pas où il partait.
Je savais qu’il rentrait, qu’il sortait, que ça tenait la route, mais sans savoir à quoi il servait.
J’ai découvert Nathalie sur Facebook.
Je voyais ses réels, ses vidéos. Je la suivais déjà depuis quelques années.
Elle vend, mais sans forcer à vendre.
Sur Internet, beaucoup promettent monts et merveilles. Elle, non.
Je suis curieux.
Quand quelqu’un est à contre-courant, ça m’intéresse.
Je me suis dit : ce qu’elle dit n’est peut-être pas bête. Pas de magie là-dedans.
L’année dernière, elle a créé le challenge de la nouvelle année.
Je me suis dit : c’est le moment, allons-y.
J’étais en transition entre deux métiers, j’avais cinq jours.
J’ai suivi assidûment.
J’ai été étonné des petits exercices.
Un petit geste pouvait avoir beaucoup d’impact. Mais il fallait le faire.
Ce qui m’a décidé à rejoindre la formation, c’est ce challenge. Elle m’a convaincu.
J’ai trouvé la formule séduisante.
Il y avait plusieurs paliers, plusieurs prix. J’ai pris le prix intermédiaire.
J’avais demandé si ça valait la peine, en tant que Belge, de prendre le plus haut palier. Elle m’a répondu non.
Je me suis dit : elle ne vend pas pour vendre. Elle sait ce qu’elle vend.
Je me suis dit : si ça ne marche pas, au pire, j’aurais perdu le prix de l’inscription et un peu de temps. Mais j’avais un an devant moi.
C’est clair qu’au moment de payer, on se dit : ça fait mal.
Mais avec le recul, après cette année, je me dis que la formation vaut bien plus que son prix.
Cette formation confronte à ses peurs, à la peur du risque, et permet de la doser.
Le prix lui-même pousse à réfléchir au risque.
Mes objectifs au départ : atteindre 10 000 € net par mois.
Pour moi, richesse = liberté = 10 000 €.
Je gagnais 3 200 net par mois, il me manquait 6 800. Un gros gap.
Je ne savais pas par où elle allait me faire passer, mais je suis monté dans l’avion.
Est-ce que j’ai atteint mon objectif ?
Non. Parce que j’ai changé d’objectif.
En cours de formation, je me suis rendu compte que le plus important n’était pas la richesse, mais la liberté financière.
Il y a un module sur les croyances et les peurs.
Dur. Moi, j’étais plutôt chiffres. Au début, j’étais excité par les comptes. Puis ce module est arrivé.
Petit à petit, grâce à ce travail, j’ai vu où partait mon argent.
J’ai réduit mes dépenses, sans frustration.
J’ai dégagé une capacité d’épargne de 5 à 10 % de mes revenus.
Depuis, j’ai investi dans la crypto.
Il y a un an, j’aurais dit : jamais.
Aujourd’hui, j’y suis.
J’ai de l’argent sur mes comptes épargne.
Je peux payer mes imprévus, mes vacances.
Mon objectif n’est plus 10 000 €.
Mon objectif, c’est d’atteindre l’équivalent de mon ancien salaire de salarié, 3 200 net.
Si je tombe malade, si je n’ai plus de clients, si j’en ai marre, je veux pouvoir arrêter de bosser tout en continuant à vivre.
C’est ça, ma liberté financière.
Je ne remercierai jamais assez Nathalie pour ce déclic.
Ça a été un switch.
Je cours moins après la richesse, plus après la liberté financière.
J’ai 48 ans, je n’ai pas envie de bosser jusqu’à 70.
À 60, je veux lever le pied, travailler 3 jours sur 5, partir 3 semaines dans le sud.
Et avoir le backup financier pour ça.
Je suis plus éclairé sur les placements, la crypto.
Mais mon truc, c’est l’immobilier.
Je vais bientôt récupérer un studio pour en faire un Airbnb.
Pour l’histoire : mes parents, propriétaires d’un appartement et de deux studios, ont décidé de tout vendre pour quitter la Belgique.
Peu après, on a découvert un cancer chez mon père.
Pour moi, ça a été un cataclysme.
Grâce à la formation, j’ai réfléchi autrement.
J’ai fait les calculs, et je leur ai proposé une donation de l’appartement en échange d’un paiement mensuel de ma part.
Ils ont accepté.
Jamais je n’aurais osé proposer ça avant.
Tout ça m’a ouvert le champ des possibles.
Nathalie vulgarise, simplifie, sans minimiser.
C’est dense, mais ça vaut le coup.
J’ai appris à gérer mon argent, à négocier mes contrats.
Exemple : télécom, promo à –15 €/mois. Je l’ai demandée, je l’ai eue.
Ce que j’attendais le plus : les ateliers mindset.
Une heure, léger mais plein d’infos.
Mon compagnon m’a dit : “Je te vois changer. Tu es plus posé.”
Lui, qui détestait ce type de formation, m’a demandé à voir mes fichiers.
Quand j’ai parlé d’Airbnb, il m’a dit : “Tu oserais ? Si ça marche, je ferai pareil.”
Je recommande la formation à tout le monde.
Employés, retraités, jeunes actifs, personnes en reconversion.
L’argent, tout le monde en a ou pas.
Apprendre à le gérer et le faire fructifier sert à tous.
Mais il faut travailler.
Si vous achetez sans suivre, ça ne rentrera pas tout seul.
Ce n’est pas Netflix.
Que ce soit Nathalie, les intervenants, l’organisation, le contenu : merci.
C’est un contenu qui vaut vraiment la peine.
Chapeau à tous.
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