J’ai donc pris le virus et j’ai acheté très rapidement deux autres appartements dans l’idée de faire de la colocation encore une fois et de me permettre de se développer dans le système que Nathalie nous apprend. Elle nous apprend pas à pas les étapes de ce qu’il faut mettre en place et nous donne des conseils par rapport la présentation d’un dossier à la banque par exemple. C’était très important pour moi d’être capable d’obtenir les financements.

Dans la formation, on nous donne toutes les clefs pour faire des calculs les plus réalistes possibles, et de ne pas s’aventurer comme ça. C’est-à-dire que moi j’avais besoin de quelque chose de très concret et de très terre à terre. Donc, au pire des cas je devrais toucher 400 euros de cash-flow par appartement, ce qui signifie que si tout va bien, j’aurais 1200 euros de revenu fixe par mois, grâce à mes locations.

Ce qui était très important pour moi était la découverte de la possibilité de me créer un revenu régulier, sans avoir à travailler physiquement. Faire un travail de mise en place c’est logique et c’est normal, mais je serais « tranquille » derrière.
À partir du moment où on fait les choses correctement et on utilise les bonnes techniques et les bons moyens, on va pouvoir gagner de l’argent d’une manière tout à fait différente ; déjà de ne plus échanger son temps contre de l’argent.

Pour moi c’était un une information capitale puisque j’avais ce problème de temps, je travaillais trop et très loin de chez moi. J’ai aussi un projet personnel avec mon compagnon qui consiste à recréer une micro-ferme à la maison, ce qui demande beaucoup de temps et d’énergie. Donc ce qui me manquait le plus c’était le temps. Etant en libérale et savoir que je peux dégager un revenu sans être présente physiquement et sans assurer des soins pour mes patients, était quelque chose de complètement nouveau.

Un autre avantage de la formation de Nathalie Cariou c’est qu’il y a un groupe Facebook privé, auquel on a accès et où on échange de façon très simple. D’un côté, on a l’avantage d’être derrière son ordinateur et de faire ce qu’on veut, comme on veut et quand on veut et, d’un autre côté, on n’est pas isolés. C’est-à-dire qu’on a toujours la possibilité de se référer à ce groupe Facebook et Nathalie elle-même est y présente quelques fois pour répondre aux questions très techniques qu’on pose par exemple. Elle n’hésite jamais à répondre et prendre contact.

On a aussi la possibilité d’avoir des webinaires en ligne pour poser des questions qu’on on est bloqué sur un point donné et avoir des réponses en direct. Un autre événement qui a été très important pour moi c’est le Live à Paris, un week-end de deux jours où on a la possibilité de rencontrer en réel des personnes avec qui on a échangé sur Facebook et de se créer une sorte de réseau.

Personnellement, j’ai rencontré des personnes avec qui je suis toujours en contact et on échange toujours. Je suis, par exemple, en investissement immobilier et j’ai un « copain de formation » qui fait la même chose et qui vient de m’envoyer un message disant : « Tout est loué pour moi et j’ai encore des demandes, est-ce qu’il y a des places dans tes colocations ? ». Donc, c’est super. Ça met en place tout un réseau et tout un système.

Ce que j’apprécie particulièrement dans la façon de faire de Nathalie c’est sa pédagogie et que c’est quelqu’un comme tout le monde. C’est-à-dire qu’elle partie de rien et elle nous explique ça et nous décrit son parcours et on découvre que ce n’est pas quelqu’un qui avait de l’argent dès sa naissance ou qui a eu des héritages, mais elle s’est construite elle-même.

Elle est très dynamique, elle dégage une énergie positive qui nous motive à bouger et on ne peut pas s’endormir quand on travaille avec elle. C’est quelqu’un qui nous donne la pêche et nous pousse à avancer. Elle va chercher ce qui nous bloque et nous obliger en quelque sorte à sortir de nos retranchements. Donc c’était super important pour moi et ce n’était pas juste un apprentissage théorique.

Elle est psychologue également et donc elle a une approche très différente par rapport à notre relation à l’argent, ce qui permet de travailler beaucoup sur nos croyances et sur nos façons de faire par rapport à l’argent et de prendre conscience de beaucoup de choses.

Des fois elle va titiller là où ça fait mal et c’est ce qui est intéressant tant qu’on est bloqué dans une étape parce que psychologiquement il y a quelque chose qui coince. On peut avoir toutes les connaissances du monde mais jamais on les mettra en application. Il y a quelque chose qu’elle nous dit tout le temps : « il faut sortir de sa zone de confort. », et c’est vraiment la chose que j’ai apprise cette année. Je fais des choses que je n’aurais jamais envisagées de faire.

Au début, mon compagnon était assez retissant mais il rentré plus dedans après et il m’accompagne maintenant dans mes projets. Donc c’est une étape extrêmement importante parce qu’elle a rendu notre couple plus fort. Puis, ça a complètement changé ma vision des choses par rapport à mes enfants. C’est-à-dire que je me trouve confrontée à une situation que d’autres parents connaissent obligatoirement mais ma fille ainée de 19 ans devait arrêter ses études après des problèmes de santé et elle ne peut pas les reprendre de suite.

Il y a un an, ça m’aurait complètement mis en panique mais là on a décidé de voir les choses autrement. Elle veut travailler dans le domaine du cinéma, qui est un domaine que je ne connais pas du tout et qui coûte cher. Il faut payer les frais de l’école, donc on a réfléchi toutes les deux et on est arrivé à une décision. Puisqu’elle ne peut pas aller en fac ou autre pour une, je lui ai encouragé à faire un peu ce que je fais, c’est-à-dire de trouver un travail alimentaire, de préférence en cdi, surtout que les banques adorent les contrats cdi par rapport au dépôt des dossiers de prêt. Donc elle va se lancer dans un investissement financier comme l’ai fait moi, et j’ai proposé de lui donner les éléments que j’ai appris dans ma formation. Donc je vais l’accompagner et elle va se lancer dans un projet immobilier : acheter un appartement et faire de la colocation.

L’objectif à terme est de s’autofinancer et de payer ses propres études.

Ça a été quelque chose d’inimaginable pour nous auparavant. Dans ma tête, il y a eu un « déclic » où je me dis : « Oui, je peux vivre différemment. »

Par rapport à notre projet de micro-ferme avec mon compagnon, on a des moutons, des abeilles, on a un grand jardin en perma-culture, on est on train de créer un grand poulailler avec un grand berger. Tout ça demande de temps et de l’énergie et on tend vers une autonomie alimentaire pour concrétiser nos choix personnel par rapport à notre consommation alimentaire.

Donc on gère comme on peut et on a la possibilité d’essayer de dégager des revenus différemment, ce qui va nous permettre d’un autre côté d’investir pleinement dans ce projet familial.

J’ai l’impression d’être rentrée sur un plateau de jeu et on est en train de me donner les règles d’un nouveau jeu et que j’ai moi-même le droit de jouer et ça, c’est juste extraordinaire. »