Nathalie
« En approchant la soixantaine, bien que n’ayant que cinquante et un ans, mais mon mari Pascal étant un peu plus vieux, on parlait de la retraite l’année dernière parce qu’il a été appelé pour une réunion, je me suis dit : « Oh ! On y arrive bientôt. » Et en entendant les gens autour de moi qui parlent de leur du salaire de retraite, j’ai pris peur et j’ai dit : « Oh non ! On ne va pas descendre financièrement. Ce n’est pas possible, il faut qu’on trouve une porte de sortie et il faut faire quelque chose. » Je ne savais vraiment pas quoi faire.
Il ya un an et demi, j’ai décidé avec ma sœur de faire un séminaire de trois jours sur Paris et je pense que ça a débloqué beaucoup de portes. Faisant son petit bonhomme de chemin, je m’interrogeais quand même pour savoir quel chemin emprunter. Juillet et août passent et en ouvrant mes mails, j’en ai trouvé un qui est envoyé par Nathalie. Comment ? Je ne sais pas franchement.
J’ai cliqué dessus et je me suis inscrite. J’y vais sans même poser de questions. Je me suis jamais posé la question ou douté là-dessus, c’était normal et je me suis dit : « On y va. On verra bien. »
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Donc je me suis inscrite et j’ai attendu avec impatience toutes les formations qui en découlent. Puis, en y allant, semaine après semaine et mois après mois, j’ai remarqué quand même qu’il ya beaucoup de choses qui étaient en train de changer en moi. C’était surtout en moi parce que financièrement c’était clair que ça n’allait pas arriver de suite. Mais je m’autorisais et je voyais des portes s’ouvrir.
Ensuite, il ya eu le séminaire Richesse et Liberté, au mois de mars, et ça a débloqué encore beaucoup de choses. Je n’étais pas la seule et je me suis dit : « Vas-y, fonce Nathalie. »
De retour de Paris, et comme je travaillais du matin très tôt jusqu’au très tard au soir, une dizaine de jours se passent et j’ai pris ma décision : « rendez-vous aux agences. » Je savais ce que je voulais déjà car je n’avais pas un gros budget mais je voulais quand même une grande superficie. J’estime que même si c’est pour gagner de l’argent, c’était important pour moi que les gens soient bien.
J’ai donc visité six maisons, avec trois agences différentes, et je n’étais pas convaincue du tout par la 7éme puisque la personne à l’accueil l’agence immobilière m’a dit : « On a une maison mais il ne reste que les murs. Si ça vous tente, on peut aller la voir. » J’ai dit : « On va y aller et on verra bien. ». J’ai pris rendez-vous pour la semaine d’après. Quand je suis arrivée devant la maison, ça ne paye pas de mine du tout. C’était une maison de rue très triste avec énormément de travaux à faire.
Mais en rentrant, quand je voyais sa superficie j’ai décidé que c’était ce dont j’avais besoin. Ce qui est génial c’est que tout était démoli à l’intérieur, donc aucun vice caché.
On a financé ce bien à 110%, travaux, achat de maison et frais de notaire inclus. On a réussi à négocier le prix pour 62500 euros au lieu de 75000. On a obtenu les 62000 euros de travaux plus les frais de notaire. J’étais déçue d’une chose cependant, c’est que je n’ai pas réussi à mettre le mobilier dedans. Étant prise de court, je n’ai pas su réagir à temps, mais pour le prochain achat je saurais comment faire. Ça ne sera pas un souci.
Ça va nous ramener un cash-flow entre 250 et 300 euros par mois, donc une rentabilité de 12 % par an. On a eu un taux de 2,40% sur 15 ans.
J’ai démarré le projet seule et en voyant les choses évoluer avec grands pas et ambitions et voyant des choses concrètes, mon mari Pascal m’a rejoint avec passion. Je dirais même qu’il ait autant plus mordu que maintenant. Il ne lâche rien et il donne un bon coup de main et ça nous a vraiment soudé d’être tous les deux dans quelque chose qu’on a en commun. Ça nous a rapprochés et ça va nous faire aller encore plus loin demain.
Le fait que j’habite en Belgique ne m’a aucunement gêné dans le suivi de la formation. On découvre des petites choses différentes par rapport aux lois françaises, mais je pense que c’est comme dans tout pays, ça ne change rien de toute manière ; avant de faire un projet il faut se renseigner et ficeler son dossier. Je suis dossier d’abord allée aux impôts, parce que les gens parlaient toujours des impôts, mais moi ça ne m’intriguait pas, je me dis toujours que c’est normal de payer des impôts si on a l’argent. Je me suis dit peut-être qu’il faut quand même que je mette ça dans le dossier.
En allant au centre des impôts en Belgique, la personne m’a agréablement reçu et m’a dit : « Tout le cash-flow que vous allez faire, vous n’allez pas être taxée dessus. » C’est vraiment du net.
La formation Richesse et Liberté m’apporte énormément et il faut dire qu’elle est très bien conçue comme on la fait à son rythme. L’idéal c’est de la suivre régulièrement, chaque semaine, voire chaque jour, si on peut et selon le temps de travail.
Moi, j’ai eu la chance de pouvoir me donner énormément à la formation. On évolue donc à notre rythme, avec nos pensées et nos façons de faire. Si jamais ça coince, on peut toujours demander un petit coup de main, soit via Facebook ou alors en contactant Nathalie directement.
Ça a débloqué énormément de choses à l’intérieur de moi et m’a permis d’avancer et de m’ouvrir des portes. Il y a énormément de possibilités en chacun de nous et c’est les peurs qui nous arrête, même s’il ne devrait même pas y avoir des peurs.
C’est super bien d’avoir percé un chemin, je dirais même un fossé, pour avancer dans ce changement de vie qui est en train de se passer et je pense que d’ici quelques temps ça va être hyper chouette. Une fois qu’on a balayé tout ce qui nous encombre, je pense qu’on peut vraiment foncer et aller dans le fond du sujet de là où on a envie d’arriver. Peu importe où c’est ou si c’est très loin ou pas, mais on avance.
Nos projets pour l’année suivante, ça sera les mobil-homes en cadre de la formation Richesse et Liberté que pascal va suivre à fond. Pour moi, j’aimerais honnêtement me relancer dans une colocation pour rester aux alentours. Ou même à grandir un peu peut-être l’environnement et développer ce revenu récurrent pour avoir énormément de cash-flow. Le but c’est que d’ici au moins cinq ou six ans, on puisse avoir au moins 1200 à 1300 euros de cash-flow par mois, pour que nous puissions aller encore plus loin par la suite.
Et que d’ici 10 ou 15 ans, quand on serait en retraite, pouvoir être tranquilles de ce côté là et aller encore plus loin. »
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